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Lettre à Yaël et Léah: du paradis au numérique, à toute vitesse: essai

Résumé
Je vous écris aujourd’hui, Yaël et Léah, mes Petites Dames de hier et mes Dames d’aujourd’hui, vous qui venez d’avoir ou aurez bientôt vingt ans. Vous comme moi nous réjouissons de l’émergence d’un monde nouveau, dans lequel les femmes vont jouer un rôle plus grand encore que celui qu’elles jouent aujourd’hui et qu’elles ont joué depuis toujours. Aujourd’hui, en matière de relations amoureuses, de désir, de partage, nul modèle n’est imposable à chacune et chacun, et chacun et chacune doit pouvoir choisir sa manière d’aimer et de partager comme bon lui semble, et avec qui bon lui semble, de surcroît sans jugement ou moralisation. Vivre et laisser vivre, comme disent les Siciliens. Dans ce petit livre, il est question des femmes, des hommes, de la différence sexuelle. De l’importance du corps, du fantasme, du désir. De l’influence grandissante de la numérisation et du virtuel dans nos vies. Et de l’évolution des rôles de père et de mère. Tout ce qui s’est écrit ici résulte d’observations issues du cabinet d’une psychanalyste et m’a été dicté par une voix pure, qui m’a raconté des choses de première main et vraies, nul doute là-dessus croyez-moi. D’ailleurs jamais je n’aurais pu les inventer. Comment l’aurais-je pu? Le thème de ce petit livre, c’est tout simplement les femmes et les hommes, hier, aujourd’hui, demain.
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 3h. 1min.
Édition: Orbe, B. Campiche, 2021
Numéro du livre: 71646
ISBN: 9782882414731

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Résumé:Bureau des Assassinats est un recueil de textes écrits entre 2008 et 2010 — des «chroniques» qui ne relèvent d'aucuns genres codifiés tout en empruntant un peu à tous les genres — dont le fil conducteur consiste à éclairer des situations et des problématiques artistiques, politiques ou économiques actuelles en partant d'oeuvres littéraires et d'auteurs classiques. Ou l'actualité éclairée par la littérature, la littérature éclairée par l'actualité. Au travers de ses jumelles littéraires, l'auteur fait voir autrement ces années de crises financières qui ont secoué nos sociétés occidentales, privilégiant la mise en perspective et un point de vue décalé. L'art, la culture, et même le fait divers, y trouvent aussi leur place.
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:Soixante-douze proses pour Berlin, toutes parues dans le principal quotidien de la capitale, le Berliner Tageblatt : quatre d'entre elles en 1907 et 1908, toutes les autres entre 1925 et 1933, alors que Robert Walser vit à Berne. " Comme mes mots bondissent devant moi ! Mes petits mots sont des enfants qui jouent avec moi. " Walser écrit ici comme il se promène, dans une disponibilité tendre et joyeuse à la vie et à ses incitations. De là, la diversité des thèmes qu'il aborde à l'intention de ses lecteurs berlinois, avec une acuité souvent prémonitoire : les tourniquets de la violence et du raffinement, de la domination et de la soumission, le féminisme, la séduction, l'automobile, le cinéma, la lecture... Non pas en essayiste, bien sûr, mais en jongleur, grâce à la vitalité et à la vivacité d'une langue qui réveille le lecteur en pleine phrase, appelant à son sens des nuances et du paradoxe. Un insolite cortège de personnages déroule ses fastes ; on y reconnaîtra quelques doubles décalés de l'écrivain, tel ce Bavard taciturne et volubile, ou tel cet Enfant du bonheur qui ne laisse pas les bien-pensants en repos. Mais ces histoires qui n'en sont pas nous conduisent toujours ailleurs, c'est-à-dire à nous-mêmes.
Lu par : Jean Frey
Durée : 1h. 43min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 66018
Résumé:En 1994, les Presses universitaires de Princeton publient un ouvrage intitulé Geneva, Zurich, Basel : History, Culture & National Identity. On demande à Nicolas Bouvier de s'occuper du chapitre sur Genève ; il écrit dix pages dans lesquelles il aborde avec lucidité et non sans humour ce qui a fait la spécificité de la ville, tout comme les grands noms qui ont marqué son histoire. En commençant par la guerre des Gaules, il fait la part belle à tous les "grands thèmes genevois" : rigueur du protestantisme calviniste, banques, pédagogie, botanique, humanitaire... On y découvre le double visage d'une République qui, au fil des siècles, a tantôt recueilli quelques-unes des plus grandes personnalités étrangères, tantôt rejeté ses plus illustres penseurs ; une République qui, parce qu'elle a toujours été prise dans l'étau de puissances adverses et parfois hostiles, a su se façonner une identité propre ; et où les sciences ont pu trouver un terrain de développement favorable alors même que les arts sont souvent restés en rade. Sans complaisance mais avec une évidente affection pour sa ville natal
Lu par : Jean Frey
Durée : 2h. 48min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17891
Résumé:Livre posthume dans lequel l'auteur mène son propre interrogatoire sur l'écriture, la littérature, le sexe, Dieu, la mort, la foi protestante, la jouissance des corps, etc. "- Qui vous autorise à parler en initié de votre propre mort ? Tant que je vous interroge, sachez-le, je ne tolérerai pas que vous en usiez avec la mort comme Guignol se joue des gendarmes ! - Je ne me moque ni de mourir, ni de la mort, ni de ma poussière de mort. Quelque chose en moi, qui parle de retour, me donne irrésistiblement la force de remonter de la poudre où je serai diffus à une espèce de parole, peut-être de voix, un souffle, un glissement d'air où les mots ne sont plus inaudibles mais deviennent précis, à nouveau doués de forme, de son, et capables de s'organiser en phrases. Disons qu'ils sont silencieux, qu'ils se tiennent à hauteur d'oreille entre l'absence et l'écho, et voici, vous les entendez, je vous l'avais dit : "Je reviendrai." "